contracter un crédit immobilier

De plus en plus de jeunes souhaitent aujourd’hui acquérir une propriété. Mais ce n’est pas toujours facile, et justement, l’un des principaux barrages est le refus des établissements bancaires, qui ne sont pas très enclins à accorder un prêt bancaire aux jeunes actifs. Néanmoins, c’est une situation encore retournable.

Commencer par évaluer votre capacité

Même si la décision de faire une première acquisition immobilière déjà été prise, inutile de se précipiter. La première chose à faire est bien évidemment de commencer par évaluer votre situation personnelle. Commencez par votre capacité d’acquisition à travers l’apport personnel que vous allez pouvoir mettre. A titre de rappel, un prêt immobilier nécessite nécessairement un apport qui sera exigé par la banque. Vous pourrez la puiser dans vos épargnes, votre héritage, de l’argent personnel que vous pourrez avoir sur votre compte et pourquoi pas de prêts que vous aurez contracté avec vos proches.
Une fois l’apport personnel défini, il est temps de passer à l’évaluation de la capacité d’emprunt. Il s’agit de la part de revenu que vous pourrez réserver au remboursement de votre futur prêt. Le principe est le suivant : cette capacité ne devra pas dépasser 33% du total du montant de votre revenu. Vous pouvez pour ce faire essayer les outils en ligne de comparaison de crédit.

Le profil du jeune ouvert à la possibilité d’un emprunt immobilier

« Les jeunes doivent attendre », c’est une affirmation que nous entendons souvent, mais qui par contre peut être détournée. Nombreux critères seront examinés par le prêteur pour vérifier s’il peut ou non investir dans un profil acheteur. Tout sera scruté : situation familiale, situation professionnelle et sécurité financière. Le principe est le suivant : même si vous êtes jeune, il vous est possible de dérocher un crédit immobilier si vous disposer d’une situation stable, financièrement, professionnellement et dans vos relations familiales. Ce qui signifie par exemple que l’on privilégiera l’emprunteur disposant d’une profession sous contrat de travail CDI, avec des revenus stables et réguliers et qui est en couple. Néanmoins, il s’agit d’un profil-type et non d’une condition sine qua non pour l’obtention d’un prêt immobilier.
Par ailleurs, il est également important de présenter le bon profil « client », c’est-à-dire un emprunteur avec un relevé bancaire sans découvert ni aucun mouvement qui pourrait laisser perplexe.
Il ne faut pas oublier non plus que plus l’apport personnel est important, plus la banque sera encline à vous accorder votre prêt.

Les possibilités d’emprunt immobilier ouvertes aux jeunes actifs

D’après les chiffes que nous livre la DARES, on compte aujourd’hui près de 87% de contrat de travail en CDD dans les embauches. Sur ces 87%, plus de 70% sont conclus pour une durée inférieure à un mois et on ne compte que 20% qui éventuellement, pourront passer en CDI. C’est pour ainsi dire, les jeunes actifs vont galérer pour se voir accepter leur demande de crédit. Heureusement, certaines solutions que nous allons vous livrer dans les quelques lignes suivantes sont ouvertes.
L’emprunt à deux est un grand classique par exemple, notamment lorsque le partenaire est doté d’un CDI même si l’autre n’a qu’un CDD. Dans ce cas, le plus souvent, le titulaire du CDD ne jouera qu’un rôle de figurant.
La seconde solution est de constituer une garantie spécifique, afin de rassurer le prêteur. De toute façon, normalement, un CDD est appelé à devenir un CDI tôt ou tard. Des garanties spéciales « CDD » prenant la forme d’une caution sont par exemple le plus souvent utilisées, financées directement par le crédit lui-même.
Sinon, les jeunes actifs peuvent aussi se tourner vers des solutions de prêts spécialement règlementés ou bonifiés selon les établissements et les modalités.

De plus en plus de jeunes souhaitent aujourd’hui acquérir une propriété. Mais ce n’est pas toujours facile, et justement, l’un des principaux barrages est le refus des établissements bancaires, qui ne sont pas très enclins à accorder un prêt bancaire aux jeunes actifs. Néanmoins, c’est une situation encore retournable.

Commencer par évaluer votre capacité

Même si la décision de faire une première acquisition immobilière déjà été prise, inutile de se précipiter. La première chose à faire est bien évidemment de commencer par évaluer votre situation personnelle. Commencez par votre capacité d’acquisition à travers l’apport personnel que vous allez pouvoir mettre. A titre de rappel, un prêt immobilier nécessite nécessairement un apport qui sera exigé par la banque. Vous pourrez la puiser dans vos épargnes, votre héritage, de l’argent personnel que vous pourrez avoir sur votre compte et pourquoi pas de prêts que vous aurez contracté avec vos proches.
Une fois l’apport personnel défini, il est temps de passer à l’évaluation de la capacité d’emprunt. Il s’agit de la part de revenu que vous pourrez réserver au remboursement de votre futur prêt. Le principe est le suivant : cette capacité ne devra pas dépasser 33% du total du montant de votre revenu. Vous pouvez pour ce faire essayer les outils en ligne de comparaison de crédit.

Le profil du jeune ouvert à la possibilité d’un emprunt immobilier

« Les jeunes doivent attendre », c’est une affirmation que nous entendons souvent, mais qui par contre peut être détournée. Nombreux critères seront examinés par le prêteur pour vérifier s’il peut ou non investir dans un profil acheteur. Tout sera scruté : situation familiale, situation professionnelle et sécurité financière. Le principe est le suivant : même si vous êtes jeune, il vous est possible de dérocher un crédit immobilier si vous disposer d’une situation stable, financièrement, professionnellement et dans vos relations familiales. Ce qui signifie par exemple que l’on privilégiera l’emprunteur disposant d’une profession sous contrat de travail CDI, avec des revenus stables et réguliers et qui est en couple. Néanmoins, il s’agit d’un profil-type et non d’une condition sine qua non pour l’obtention d’un prêt immobilier.
Par ailleurs, il est également important de présenter le bon profil « client », c’est-à-dire un emprunteur avec un relevé bancaire sans découvert ni aucun mouvement qui pourrait laisser perplexe.
Il ne faut pas oublier non plus que plus l’apport personnel est important, plus la banque sera encline à vous accorder votre prêt.

Les possibilités d’emprunt immobilier ouvertes aux jeunes actifs

D’après les chiffes que nous livre la DARES, on compte aujourd’hui près de 87% de contrat de travail en CDD dans les embauches. Sur ces 87%, plus de 70% sont conclus pour une durée inférieure à un mois et on ne compte que 20% qui éventuellement, pourront passer en CDI. C’est pour ainsi dire, les jeunes actifs vont galérer pour se voir accepter leur demande de crédit. Heureusement, certaines solutions que nous allons vous livrer dans les quelques lignes suivantes sont ouvertes.
L’emprunt à deux est un grand classique par exemple, notamment lorsque le partenaire est doté d’un CDI même si l’autre n’a qu’un CDD. Dans ce cas, le plus souvent, le titulaire du CDD ne jouera qu’un rôle de figurant.
La seconde solution est de constituer une garantie spécifique, afin de rassurer le prêteur. De toute façon, normalement, un CDD est appelé à devenir un CDI tôt ou tard. Des garanties spéciales « CDD » prenant la forme d’une caution sont par exemple le plus souvent utilisées, financées directement par le crédit lui-même.
Sinon, les jeunes actifs peuvent aussi se tourner vers des solutions de prêts spécialement règlementés ou bonifiés selon les établissements et les modalités.